Allez, pour le plaisir, je vous  balance quand même le jeu de rôle ou j’ai le plus passé de temps : http://www.legrog.org/jeux/vermine

Pour me mettre les femmes du forum dans la poche

"Omg, il est trop mignon ton chat !"
Cliché misogyne ? Mais absolument pas ! :o
Ndlr: Il a un peu honte d'en parler, mais il dit la même chose !

Tenez, une belle image de Galapanos des plaines : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fwww.orelidee-illustration.fr%2Fwp-content%2Fuploads%2F2012%2F04%2Fpoulphead.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fwww.orelidee-illustration.fr%2F2012%2F04%2F16%2Fla-tete-dans-le-poulpe%2F&h=892&w=650&tbnid=aD_4FqGHwfrxVM%3A&zoom=1&docid=iNzeTysSFm1q7M&hl=fr&ei=MZWgU-qZKtKY1AXVwoC4Ag&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=568&page=1&start=0&ndsp=31&ved=0CC4QrQMwBA

« Aujourd'hui, je n'en peux plus, chaque instant passé dans le froid et la faim me fait apparaitre son visage... Son doux visage, un peu ovale, pas très bien coiffer, mais toujours souriant, avec des yeux en amande d'un bleu si doux qu'il nous envoûtait d'un simple battement de cils... Nicolas, si seulement nous avions fui ensemble...

Toute cette histoire à débuter il y a quatre jours, ou peut-être six ? J’ai perdu le compte, enfermée dans cette grotte sur ce caillou glacé. Je n’ai plus que ce modeste bloc note et ce stylo presque inutilisable tant l’encre gèle à l’intérieur.
À celui qui découvrira ce bloc note, méfier vous… Méfier vous de Nash Thiercelieux !

Laissez-moi vous compter pourquoi plus en détails :

Je suis, plutôt, j'étais, une voleuse professionnelle. Ne me juger pas trop sévèrement, après la destruction et l'exil de mon peuple, nous les humains avons appris à survivre de différentes manières, voyageant d'étoiles en étoiles à la recherche d'un nouveau chez nous, toujours considérez par les autres races de ce monde comme de simple nomade sans le sous. Comme beaucoup, j'ai donc rejoins l'une de c'est tributs, la survie seule étant pratiquement impossible est peu à peu elle est devenue mon chez « moi », ma famille.

Mes talents de voleuse étant très prisé je n'eus aucun mal à m'intégrer, enchaînant les casses, rapportant toujours plus d'argent pour nourrir ma nouvelle famille et puis un jour, il est venu me parler, timide, d'un naturel effacé, je ne l'avais jamais vraiment remarqué aux seins du groupe, mais il se tenait là, devant moi, les poings serres, ce mordant la lèvre inférieure à me supplier de le prendre comme apprentie, je n'étais pas bien plus âgée que lui et je n'avais jamais pris d'apprentie, laissant cette tâche aux vieillards à la barbe grisonnante, mais quelque chose dans son regard m'affirmer que je devais le prendre, ce que je fis finalement.

Nous avons passé de longues années ensemble à nous entrainer, notre relation maître à élève était bonne, trop peut-être... De fil en aiguille, nous sommes devenus des amants, travaillant ensemble sur chaque casse le soir et roucoulant dans le lit de jour, c'était les plus belles années de ma vie...
Puis un soir nous avons proposé à la tribu de viser gros, un peu trop confiant de nos capacités.

Près de là où nous campions, un temple Avian se dressait fièrement, ces temples son réputer pour leur architecture, mais surtout pour la quantité d'or déverser en offrande à leur faux dieu dans les salles souterraine !
Le plan était simple, faire diversion à l'entrée principale, ce qui nous laissait le temps de nous faufiler par derrière moi et Nicolas, il y aurait sans doutes des morts, mais tous savaient qu'avec ce butin il était possible de s'acheter une planète, voir un système entier !

Nous nous sommes donc procuré des armes et de l'équipement, pratiquement toutes nos économies on était dilapidé là-dedans, l'erreur n'était absolument pas permisse...
Le soir même nous avons donc attaqué, le groupe principal ce chargeant de retenir le plus possible de fanatique dehors, essayant de se cacher tant bien que mal parmi les buissons et les arbustes.

Avant que la fusée éclairante ne sois lancé, Nicolas me prit par la main et m'embrassa fougueusement, je ne savais pas encore à cet instant, pourquoi ce baiser avait un goût si amer...

Puis soudain, elle éclata, dans un million de petites étincelles rouges flottant dans les airs, quelques secondes plus tard, des tirs d'armes lourdes et légères fusèrent des arbustes et des buissons. Nous tenant par la main, nous avons courues de toutes nos forces dans la nuit, trébuchant parfois, mais sans jamais tomber, essouffler et fatiguer, nous atteignîmes enfin la porte dérobée du temple, quelques tours de passe-passe plus tard, elle s'ouvrit sans un bruit
Pénétrant lentement, mais surement à travers ce labyrinthe, évitant ou tuant les quelques gardes restant, la portes des offrandes se dévoila rapidement à nous, faite en or massif tout comme le couloir qui y mène sur plus de cinquante mètres.

Un ingénieux mécanisme piéger la porte avec un petit dard empoissonner, Nicolas m'attrapa par le col juste avant que le dard ne me touche, me sauvant la vie. En retour, je lui offris un large sourire et dans un chuchotement, quelques promesses de récompense une fois la mission réussies.

En s'ouvrant, la porte grinça nerveusement contre le sol pavé d'or, à l'intérieur, rien qu'une immense ombre noire... Vite dissipée par une torche ! L'or scintillait de toutes parts, des bijoux, des lingots, des émeraudes et même des diamants ! Après tant de stress, cette merveille nous fît lâcher un rire nerveux, pourquoi de telle richesse était juste enfermée là, pour un dieu n'existant pas ?...
Les bruits de tirs dehors s'estomper, nul doute que notre peuple en avait déjà suffisamment subis les conséquences.

T-elle deux éclairs, nous avons rempli nos deux bourses à ras-bord de diamant, suffisamment pour s'acheter trois planètes, deux cents boeuf et neuf-cents poules ! Puis, nous avons pris la direction de la sortie... Bien trop tard. Un Avian nous aperçut et avant que je ne lui tranche la gorge il avait déjà alerté de son sifflement tous les autres gardes du temple. Nous avons couru de toutes nos forces, priant pour ne pas tomber dans un cul de sac ou une patrouille

Puis elle apparut là, au bout du couloir, la sortie, faiblement éclairer par les rayons de la lune ce petit espoir nous permis de puiser dans nos dernières force, tandis que des tirs venant de derrière, nous menacer de mort à chaque instant.

C'est à ce moment-là que ma vie à basculer, alors que nos poursuivants perdez du terrain, une lance en acier vint transpercer le genou de Nicolas qui s'étala par terre dans un râle d'agonie, complètement paniqué, je m'approcher de lui, prenant sa tête dans mes bras et lui répétant que tout allait bien se passer, je tentais de le relever, mais c'était impossible et la lance était bien trop enfoncée pour la retirer, je me mis à pleurer en plein milieu du couloir tandis qu'il m'implorait de le laisser ici en me regardant dans les yeux... Ah c'est yeux... mais je n'eus pas le temps de rêvasser longuement, du sang m'éclaboussant le visage, quand j'ouvris de nouveau les yeux, Nicolas avait la gorge tranchée, une mare de sang lui emplissant la bouche... L'Avian qui l'avait exécuté lécha longuement sa lame courbe couverte du sang de Nicolas tout en me dévisageant, il siffla quelques mots :

« C'est à ton tour déchet humain ! »

Perdu, paniquer, morte de peur et triste je rampais nerveusement vers la sortie, seulement animé par mon instinct de survie. Alors que l'Avian, en ricanant s'avancer doucement vers moi, je le suppliais de me laisser en vie :

« Je vous en prie, c'était une erreur, on peut s'arranger ! Je vous donnerais absolument tout ce que j'ai si vous me laissez en vie ! »

Étonnamment, ce fût un autre Avian qui répondit à mes supplices sortant lentement de derrière la porte dérober, il était plutôt petit pour quelqu'un de sa race, affublé d'un bec tout rond, ces plumes soyeuses et verte contrasté avec son duvet blanc sur la tête, il était vêtue d'une tenue de chimiste, d'un simple jean noir et d'un bandana gris sur la tête, il lançait une pièce en l'air, la rattrapant toujours et m'adressa un large sourire tandis que l'autre Avian en rester bouche bée, doucement, il prononça c'est quelques mots :

« Un contrat est un contrat et nul ne saurait l'ignorer. »

Puis, il dégaina une arme que je n'avais jamais vue auparavant, mais qui d'un tir réduisit l'Avian hostile en un tas de cendres, puis, les autres Avians se précipitant vers nous, il fît exploser un pan de mur pour qu'il s'effondre, d'un simple bouton.

Son forfait commis, il délesta le cadavre de mon chère et tendre de c'est diamants, puis des miens, réclamant que c'était son payement pour le contrat formuler, complètement abasourdis je ne résistais même pas, son dût réclamer en sa possession, il me tendit la main et ce présenta :

« Je suis Nash Thiercelieux pour vous servir, membres de la guilde des marchands d'Aurore, marchand d'armes, d'armure, de matériaux et.... De vies. Votre copain là avait de lourdes dettes, heureusement, il a réussi à me rembourser par-delà la mort même si j'ai ai ajouté mon grain de sel... »

Sans ne rien me dévoiler d'autre, il chargea les sacs sur son dos et s'enfuit à travers les bois, sifflotant un air Avian bien connue, ce camouflant dans les ombres aussi vite qu'il était apparu, étrange personnage me laissant seule pleurant sur le corps de mon ancien amant...

Une fois qu'il fût bien enterré par mes soins, je me dirigeai vers ma tribu, bien trop tard, le camp avait été attaqué en représailles et les survivants avaient fui, me laissant seule et sans le sous.
Et aujourd'hui, j'en suis là, à moitié gelée et morte de faim n'ayant plus la force de vivre sur une planète inhospitalière à me ressasser la phrase de Nash « Même si j'ai ajouté mon grain de sel » que je n'avais pas compris au départ, c'est de sa faute si Nicolas est mort, de sa faute si le plan a foiré, de sa faute si ma tribu a été détruite et enfin, de sa faute si je me meurs !

Toi, Thiercelieux, que ta cupidité te conduise à ta perte ! Je te maudis toi et tous tes descendants !

Je vais maintenant rejoindre les bras de mon aimé... »

Noémie.

Dossiers des membres d’Aurore… « ‘’Ouverture ‘’ »

Nom du dossier : M.o.c.a… « ‘’Entré ‘’ »



Nom : Thiercelieux

Prénom : Nash

Nom de code : La flèche

Particularité : Fais souvent tournoyer un pixel entre c’est doigt, porte une tenue complétement en désaccord avec sa vocation, probablement un ancien mode de vie, est végétarien…

Capacité : Faible au combat, ne jure que par les armes à feux,  technique de marchandage d’un niveau très élevé.

Phrase fétiche : Un contrat est un contrat et nul ne saurait l'ignorer.

Aime : Tous les fruits et légumes, les armes a feux qui font mal, les objets rare de collection, l’argent et les gens malhonnête. (Lorsqu’ils sont de son côté.)

N’aime pas : Toutes les viandes, les pauvres, les armes de corps à corps, les objets qui ne valent rien et les gens malhonnête. (Lorsqu’ils sont contre lui.)

Vous n’avez pas accès au reste du dossier… « ‘’Déconnexion’’ »