Lorsque deux conditions seront requises.
La première, que je finisse les chroniques, c'est-à-dire lorsque les chroniques auront rejoint le RP de ma présentation.
La seconde, que quelqu'un s'occupe de créer une figurine de Sarsa, car moi j'en suis incapable. Et ça, ce n'est pas près d'arriver étant donné que je ne sais toujours pas à quoi ressemble Sarsa :D
A la rigueur, on pourra se passer de la deuxième condition :)

Mais bon, si jamais je suis courageux et dans un cas idéal, la version collector devrait être une version réécrite (avec des scènes bonus complètement inutiles, mais bon lorsque c'est inutile, c'est indispensable ^^) des chroniques de Sarsa.

Mroar, ça commençait à me manquer :3
Si y'a une version collector, je la veux :3

Lieu : Planète Alpha Ortank-Dis III, Continent Vinn.
Date : Le jour de l’enlèvement de Sarsa.

Sarsa était seul. A nouveau. Le floran avait quitté Goff le matin même. Il était parti de sa propre initiative. Pour la première fois de sa vie, il avait décidé quelque chose de lui-même.

Pourtant, peu de temps avant le lever du jour, lorsqu’il avait émis le désir de s’en aller, Phren était venu le voir pour l’en dissuader.

- Sarsa ? Mais, pourquoi veux-tu partir ?
- Sssarsssa ne sssait pas.
- Dans ce cas, reste ici. Avec nous. Tu as tellement fait pour nous en si peu de temps.
- Sssarsssa n’en a pas envie.
- Tu n’aimes pas la vie ici ?
- Sssi, répondit-il après un instant de réflexion. Mais, il manque quelque chose.
- Quoi donc ?
- Sssarsssa ne sssait pas.
- Que dois-je faire pour t’empêcher de partir ?
- Tuer Sssarssa. Mais, Sssarsssa vous tuera si vous esssayez, rajouta-il avant que Phren ne risque d’être tenté.

Ce fut ainsi que Sarsa, plusieurs heures plus tard, se trouvait à marcher sans réel but dans une plaine de cendres virevoltantes au vent, heureusement encore faible.

Où qu’il posait les yeux, il ne pouvait rater les séquelles laissées par l’incendie qu’il avait provoqué. Seulement, il ne s’en souvenait pas. Il ne savait non plus l’apparence que ces terres avaient jadis eue. Le floran se contentait donc de laisser égarer son regard sur ce paysage grisâtre et morose.

Sarsa continua donc à marcher sans but, un moment.

Son esprit était vide. Il ne savait où aller. Il ne savait que faire. Il ressentait bien un début de faim, mais il l’occulta. Il ne fit que marcher.

Il n’avait pas de mauvais souvenirs de Goff. Il n’en avait de bons, non plus. Il n’avait pas de souvenir, tout simplement. Cela ne l’avait jamais dérangé de ne pas avoir de mémoire de ce qui s’était passé avant son réveil, chaque matin. Cela ne le gênait toujours pas. Pourtant, il ressentait une certaine gêne à présent. Comme s’il avait raté quelque chose. Quelque chose d’important. Pourtant, jusqu’à aujourd’hui, il n’avait jamais ressenti de gêne. Il n’avait jamais eu de sentiment. Se pourrait-il qu’il commence à en éprouver ? Evidemment, il ne se posa la question. Cependant, cette question partit se nicher, insidieusement, avec ses souvenirs. Loin, très loin, là où son esprit jamais ne s’aventurait pour la simple raison qu’il en ignorait l’existence. Il était évident pourtant qu’il avait des souvenirs, sinon comment expliquer ses connaissances principalement axées sur la destruction. Il devait donc y accéder d’une manière ou d’une autre, mais de façon inconsciente. Son désir de quitter le village venait donc sûrement de son inconscient.

Alors que Sarsa mettait un pas devant l’autre de façon automatique, deux choses se produisirent simultanément.

Au niveau de son épaule droite sous sa peau, une lumière rouge se mit à clignoter de façon régulière. Et, une violente bourrasque de vent balaya les cendres dans un furieux tourbillon.

Sarsa protégea ses yeux de ses bras. Un vrombissement sourd le fit lever la tête. Ce fut là qu’il vit l’origine de la tornade grise. Il s’agissait d’un vaisseau spatial qui le surplombait à quelques dizaines de mètres de haut.

Il n’eut le temps de réagir qu’il sentit qu’il se déplaçait. La sensation se révéla désagréable. Il eut l’impression d’être en deux endroits à la fois. Finalement, il ne fut qu’en un seul lieu. Mais, pas celui familier de la terre ferme. Il se trouvait à présent dans un endroit inconnu.

- Bienvenue parmi nous Sarsa !

HRP :

"Sarsa utilise une machine cheloue et se fait téléporter dans un univers d'heroic-fantasy où il tue des magiciens nécromanciens et des chevaliers."
Need cette histoire. :3333

J'attend avec impatience l'édition collector des chroniques de Sarsa!  

Perso j'ai trois RPs sur le banc de touche, mais je manque hélas de temps et d'inspiration, j'essaierai d'en finir deux dans la fin de semaine!.. J'essaierai.

Si tu bosses bien, t'auras un gros poutou de ma part :3

Lieu : Planète Alpha Ortank-Dis III, Continent Vinn, Village troglodytique de Goff.
Date : Six jours avant l’enlèvement de Sarsa.

Sarsa était en train de construire une antique chaudière afin que tous les villageois puissent enfin jouir d’une eau chaude courante à l’aide des nombreux débris que les florans avaient trouvés et regroupés au fil des années. Ensuite, il lui faudrait s’atteler à l’élaboration d’un système de raccordement de la chaudière à toutes les habitations.

- Sarsa ?

L’appelé se retourna en direction de l’appel. Il avait été fait par un floran à la peau bleu-vert. Ce dernier, du nom de Theim, le regardait avec ses yeux bleus et sombres par derrière les longues feuilles qui couvraient partiellement son regard. Sur le sommet de son crâne, une unique fleur dorée se balançait au gré des mouvements dus au stress.

- Oui ?
- Tu peux venir, s’il te plait ?
- Oui.

Sarsa s’éloigna donc de son ouvrage et marcha tranquillement en direction de son interlocuteur. Celui-ci était de plus en plus nerveux à mesure que la distance entre les deux florans se réduisait.

- Sarsa, ferme les yeux s’il te plait.
- D’accord, fit-il.

Il ne voyait rien. Mais, il entendait. Il entendait la respiration de Theim, forte, saccadée, erratique.

- C’est bon, tu peux les ouvrir à présent.
- D’accord.

Sarsa ouvrit donc les yeux. Il vit Theim les bras tendus. Dans ses mains, un cadeau.

- C’est pour toi.
- Merccci.

Sarsa l’avait à peine pris que Theim partit en courant. Il se retrouva donc avec dans ses mains, un cœur. Un joli cœur d’un rouge profond. Un cœur que Theim avait arraché à un monstre qui avait survécu à l’immense incendie.

Sarsa retourna travailler avec ce cœur. Il passa le reste de la journée avec le cadeau non loin de lui. Il le ramena même dans le logement que Phren avait prêté aux trois florans quelques semaines auparavant.

- Salut Sarsa, dit Aule qui avait appris à apprécier le floran malgré le fait qu’il ait tué Klir et Blart.
- Sssalut !
- Tiens, c’est quoi ça ?, demanda-t-il en montrant les mains de Sarsa.
- Un cadeau.
- On t’a offert un cœur ?
- Oui.
- Tu sais ce que ça veut dire ici ?
- Non.

Un grand sourire éclaira le visage d’Aule.

- Une petite question. Tu aimes la personne qui t’a fait ce cadeau ?
- Non.

La réponse déçut Aule qui poussa un petit soupir. Cependant, au cours des derniers jours, il avait appris à connaître Sarsa. A le comprendre un peu aussi.

- Tu sais ce qu’aimer veut dire ?
- Non.

Aule rit, non méchamment, en ayant une idée intéressante.

- Je sais ce qu’il faut que tu fasses alors.
- Quoi ?
- Va voir la personne qui t’a offert ce cadeau, remercie-la puis prend-la dans tes bras.
- D’accord.

Sarsa sortit donc à la recherche de Theim tandis qu’Aule arborait un sourire satisfait.

Theim était en train d’admirer les étoiles lorsque Sarsa arriva.

- Merci pour le cadeau, fit-il.
- De rien. Il t’a plu ?, demanda Theim d’une voix hésitante.
- Oui.
- C’est vrai ?, fit-il d’une voix incrédule.
- Oui.

Theim eut un léger sourire en entendant la réponse. Un poids semblait avoir disparu de ses épaules.

- Sarsa… je… je t’ai…

Sarsa se rappela les paroles d’Aule et serra Theim dans ses bras. Theim rendit cette étreinte à son tour.

HRP :

Citation :

Sarsa était en train de construire une antique chaudière afin que tous les villageois puissent enfin jouir d’une eau chaude courante à l’aide des nombreux débris que les florans avaient trouvés et regroupés au fil des années.

Je pensais qu'il allait faire exploser tout le village... :(

Ow c'est mignon un acte spécial Saint Valentin. >:3 
[/Kawai-desu]

Sarsa vas ken dans le prochain épisode !!

Lieu : Espace, Système Alpha, Vaisseau Apex Amyalos.
Date : Lendemain de l’enlèvement de Sarsa. Quelques heures avant la tentative d’assassinat sur Sarsa.

Il s’agissait de la deuxième journée à bord du vaisseau spatial pour tous les occupants. La plupart n’appréciait leur présence en cette boite de conserve. La raison en était simple, ils devaient côtoyer ceux qui avaient étés leurs ennemis jurés pendant des années. Et, la haine était un sentiment difficile à réprimer.

Seuls sept florans acceptaient cette cohabitation. Sarsa et les six responsables de ce regroupement. Ces derniers ne s’étaient pas attendus à ce qu’il y ait autant d’animosité entre les marqués qu’ils avaient choisis.

Le petit groupe composé d’Adelyn, Fiwyn, Garv, Lystir, Myrd et Parv s’était réuni pour discuter de la marche à suivre pour dissiper cette haine dangereuse et contreproductive. Le poste de commandement convenant à merveille avait été choisi pour la réunion.

- On est mal barré. Ils sont incapables de s’entendre. Ils ne se battent pas encore entre eux mais je doute que la journée finisse aussi calmement.
- Tu as raison Parv, dit Adelyn. Nous sommes justement là pour trouver une solution.
- Comment tu veux que des gens que l’on a habitués à s’entretuer puissent s’entendre ?, demanda Garv.
- Il faut leur présenter un ennemi commun, répondit Fiwyn.
- Qui ça ?, s’interrogea Myrd.
- Cela n’a aucune importance. Il faut juste qu’il soit suffisamment important pour que les vieilles rivalités passent au second plan.
- Un envahisseur alien menaçant notre planète ?, proposa Lystir.
- Oui, par exemple. Ce pourrait être ces sortes de singes desquels on a récupéré ce vaisseau.
- Les apex ? Mais, on les a tous tué.
- Justement, il se pourrait que d’autres soient venus pour les venger. Evidemment, on ne le dira pas ainsi.

Et, la discussion continua encore un bon moment. Que dire et comment l’annoncer. Cela prit du temps.

Sur les coups de la mi-journée, une annonce retentit dans tout le vaisseau.

- Ici, Fiwyn. Je parle en mon nom et aussi celui de Lystir, Adelyn, Garv, Parv et Myrd. Ceci est un message à l’intention de tous.
- Nous confirmons ce qui va suivre, rajoutèrent les cinq.
- Il y a un peu plus d’un mois, un cataclysme a ravagé nos terres sans faire de différence de patrie. Il se trouve que nous connaissons l’identité de ceux qui faillir causer notre perte. Ce sont les apex. Sarsa a repéré un de leurs vaisseaux orbitant autour de la planète au moment de leur attaque. Ni lui, ni personne n’a malheureusement pu la contrer. Cependant, il a été en mesure de suivre leurs mouvements et a calculé leur destination de retour. Et, nous les pourchassons, nous nous vengerons, nous les exterminerons jusqu’au dernier !

Les désormais apatrides se rallièrent sous la bannière de la vengeance. Le discours de Fiwyn avait eu l’effet escompté. A quelques individus près. Certains doutaient encore et pour d’autres la haine était trop forte pour disparaître devant un nouvel ennemi. Dans le clan des indécis se trouvait Tryt.

Ce dernier sentit que le discours sonnait faux. Pour cause, il avait été aux premières loges lors du grand incendie. Mais, s’il remettait en doute les propos de Fiwyn, il devrait aussi douter de Garv, son propre supérieur. Pour le militaire, il ne pouvait donc n’y avoir qu’une solution. Tout était une manigance de Sarsa.

Il décida donc d’aller voir ce traître à la nuit tombée et de lui faire passer l’envie de recommencer. Pour toujours.

HRP :

Ça veut dire qu'il ne reste plus qu'un épisode des RPs de Sarsa? :O

C'est toujours bien écrit mais pour le coup, j'ai perdu le fil de l'histoire. x] Faut que je relise ce qui s'est passé avant car j'ai l'impression d'avoir louper quelque chose...

Cool, ptetre que l'histoire sera finie pile pour le début du serveur :D

Kokiris a écrit:

Ça veut dire qu'il ne reste plus qu'un épisode des RPs de Sarsa? :O

Tout à fait.
Mais, pour l'édition collector, si jamais j'arrive à la faire, je devrais rajouter des épisodes pour relier les différentes parties de l'histoire ;)

Kokiris a écrit:

C'est toujours bien écrit mais pour le coup, j'ai perdu le fil de l'histoire. x] Faut que je relise ce qui s'est passé avant car j'ai l'impression d'avoir louper quelque chose...

C'est peut être car l'ordre dans lequel j'écris les épisodes n'est pas forcément très simple à suivre aussi ^^
Et sinon, je trouve personnellement que la fin (la seconde moitié donc) de cet épisode est un peu bâclé.

biscotteman a écrit:

Cool, ptetre que l'histoire sera finie pile pour le début du serveur :D

Etant donné que ça ouvre dans une heure ou un peu plus, je doute d'avoir écrit la fin d'ici là.
Surtout que je n'ai pas encore écrit le début de la fin :D

Lieu : Espace, Système Alpha, Vaisseau Apex Amyalos.
Date : Peu de temps avant la quasi-annihilation des occupants de l’Amyalos.

Sarsa était en train de dormir lorsqu’un fin raclement métallique le sortit de son sommeil. Sans faire de mouvement, il se contenta d’ouvrir les yeux. Malgré l’obscurité, il parvint à deviner une ombre dans sa chambre. Il entendit de plus une respiration que l’on tentait malhabilement de dissimuler.

La silhouette informe se rapprocha silencieusement du supposé endormi. Arrivée au pied du lit, elle leva un bras, prête à frapper. Sarsa sentit la débordante pulsion meurtrière et réagit instinctivement. Le floran bondit brusquement, surprenant son assassin. Bien qu’aguerri, ce dernier n’eut le temps de réagir et une mâchoire lui trancha la jugulaire. Tryt, agonisant, préféra vainement porter la main à sa gorge pour arrêter l’hémorragie que tuer Sarsa.

Une fois Tryt mort, baignant dans son sang, Sarsa le prit. Il le transporta jusque dans le couloir non loin de sa chambre. Puis, il essuya grossièrement les trainées ensanglantées laissées par le décédé. Ensuite, comme si de rien n’était, il se recoucha et se rendormit. Paisiblement.

Et, le matin arriva.

Un floran plus matinal que les autres, Cinar, faisait sa promenade digestive habituelle lorsqu’il tomba sur le cadavre. Littéralement. Il se releva en vitesse poussant un cri de surprise, mi-dégoûté par le sang à moitié séché qui à présent tâchait ses habits, mi-horrifié par la présence du mort. L’hébété, un partisan de Lystir, reconnut immédiatement Tryt. Ce dernier était l’un de leurs pires ennemis.

Malheureusement pour le découvreur, son cri avait alerté les florans alentours. Il ne fallut beaucoup de temps pour qu’il ne fût plus seul. En quelques instants, cinq personnes en plus de Cinar se trouvèrent près du cadavre.

A la vue du sang le recouvrant, Cinar fut de suite accusé du meurtre de Tryt. Cela paraissait évidemment une vengeance. Tryt avait fait tuer tellement de lystiriens qu’il devait immanquablement avoir un proche de Cinar dans le lot.

- Assassin !

Celui qui hurla se nommait Udo et était un ami proche de Tryt. Il se jeta sur Cinar et se mit à le frapper. Un coup plus puissant le fit tomber et son crâne heurta violemment le sol. Cinar ne bougeait plus. Il était mort.

Udo, dans sa frénésie, n’avait remarqué le décès et continuait à donner des coups de pied. Un floran qui tenta de l’arrêter fut projeté contre un de ses congénères. La tension qui s’était accumulée les deux derniers jours ainsi que la folie meurtrière qui suintait d’Udo transforma les témoins en pugilistes. Et, sans distinction, ils frappèrent leurs voisins, laissant libre court à leur haine.

Le boucan attira davantage de florans. Ils furent happés dans la mêlée générale qui croissait et s’intensifiait de minute en minute.

Les échos du massacre parvinrent jusqu’aux oreilles des dirigeants. Il fut décidé que Fiwyn irait calmer les choses. Seulement, à peine arrivé, il fut pris à partie.

- C’est de votre faute tout ça !, hurla l’un.
- On aurait jamais dû vous faire confiance !, cria l’autre.
- Traîtres !, beugla un troisième.
- Meurtriers !, lança l’autre.
- Sapajous ?, souffla un quatrième.

La dernière intervention passa inaperçue derrière les hurlements de Fiwyn se faisant écharper.

- Mort aux autres !
- Ouais !
- Tuons-les !
- Lapidons-les !
- Massacrons-les !
- Sucrons-les ?

Aussitôt, la foule, s’étant trouvé un ennemi commun, se mit en branle. Elle se dirigea vers le poste de commandement du vaisseau. Ils continuèrent à se mettre les uns sur les autres, mais un peu moins. Ils réservaient leur fureur pour leurs dirigeants. Et, ils n’allaient pas le rester longtemps.

Le bruit des dissensions internes se propagea dans tout le vaisseau. Bientôt, il se calma. Ce fut cet instant que Sarsa choisit pour se réveiller.

En sortant de sa chambre, il put observer le carnage. Des corps gisaient et du sang éclaboussait les murs et le plafond. Le dernier survivant des combats ayant agité l’Amyalos aperçut le récemment réveillé.

- Meurs !, hurla-t-il en courant maladroitement vers Sarsa.

HRP :

Ils sont un peu cons quand même ces types.
C'était une jolie histoire du début à la fin, bravo :3